1 Théssaloniciens 4/3
L’écriture met en évidence certains points permettant au croyant d’être le disciple que Dieu veut. Un disciple dans la forme et surtout dans le fond.
Hebreux 12/14 : « Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur ». Ainsi La sanctification est un point fondamental pour le croyant.
Face au défi de la sanctification quotidienne, le premier réflexe que nous devons avoir est de prier. Gloire au Seigneur !! Soyons certains et persuadés que Dieu veut exaucer cette prière.
Philippiens 4/6 : « … mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces ».
L’exaucement que Dieu accorde dépend de notre foi. Cette foi s’appuie sur les promesses et certitudes qu’il donne dans sa parole.
2Corinthiens 3/5 « Ce n’est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu ».
Un travail dans le cœur, une
œuvre intérieure dans le caractère de l’individu.
Il nous appartient de laisser Dieu faire ce travail
en nous, en entravant le moins possible son action. Ainsi, nous permettons au
caractère de Christ de grandir en nous. Nos interrogations laissent place à une
proclamation de foi « Le Seigneur a fait, fait et fera toutes choses ».
Hebreux 13/20 : « Que le Dieu
de paix, qui a ramené d’entre les morts le grand pasteur des brebis, par le
sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus, vous rende capables de
toute bonne œuvre pour l’accomplissement de sa volonté, et fasse en vous ce qui
lui est agréable, par Jésus-Christ, auquel soit la gloire aux siècles des
siècles ! »
Notre Dieu est vivant, il agit. Il a de nombreuses manières d’interagir avec
ceux qui ont foi en lui. Ayons conscience de cela et sachons reconnaître sa
main, ses directions, ses avertissements et son enseignement dans notre
quotidien.
JOB 33/14 « Dieu
parle cependant, tantôt d’une manière, Tantôt d’une autre… »
Vivre notre foi d’une manière concrète en accomplissant les commandements du seigneur.
Jean 14/21 : « Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime ; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me ferai connaître à lui. Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. Celui qui ne m’aime pas ne garde point mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais du Père qui m’a envoyé ».
De l’obéissance a sa parole est attachée beaucoup de promesse et de chose que Dieu veut faire en nous et pour nous. Dans l’ancien et le nouveau testament, l’écoute et l’accomplissement des commandements sont porteuses de bénédictions.
Esaïe 48/18 : « Oh ! si tu étais attentif à mes commandements ! Ton bien-être serait comme un fleuve, Et ton bonheur comme les flots de la mer… »
L’obéissance du croyant à son Seigneur vaut mieux que tout sacrifice. Tout ce qu’il pourra dire pour exprimer son attachement au maitre ne saurait aussi bien parler que d’obéir à la voix de celui qui la sauvé.
Mettre Dieu et son royaume en premier en tout temps et en toute chose. (Une question de priorité)
« Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas : Que mangerons-nous ? Que boirons-nous? De quoi serons-nous
vêtus ? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent.
Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le
royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données
par-dessus. Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de
lui-même. A chaque jour suffit sa peine ».
À la lumière de ces paroles ayons des
certitudes ; le Seigneur est capable de répondre
à tous nos besoins. Il nous appartient ainsi de
croire et d’agir selon cette vérité. Les soucis de cette vie doivent avoir leur juste place sans nous
accaparer. Dieu nous parle et nous dit qu’il saura
s’occuper de ce qui pour nous est nécessaire et important. La condition est de
donner la priorité à ce qui convient au royaume de Dieu.
Marcher de progrès en progrès dans les voies de Dieu
1Thessaloniciens 4/1-2 : « Au reste, frères, puisque vous avez appris de nous comment vous devez vous conduire et plaire à Dieu, et que c’est là ce que vous faites, nous vous prions et nous vous conjurons au nom du Seigneur Jésus de marcher à cet égard de progrès en progrès. Vous savez, en effet, quels préceptes nous vous avons donnés de la part du Seigneur Jésus ».
La vie chrétienne est un chemin ponctué d’étapes. Elles sont incontournables et essentielles à la croissance spirituelle. Jésus a décrit un tel chemin comme resserré. Les notions de peines et d’efforts ne sont pas absentes de ce parcours.
2 Pierre 1/5-11 : « À cause de cela même, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la science, à la science la tempérance, à la tempérance la patience, à la patience la piété, à la piété l’amour fraternel, à l’amour fraternel la charité. Car si ces choses sont en vous, et y sont avec abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stériles pour la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ. Mais celui en qui ces choses ne sont point est aveugle, il ne voit pas de loin, et il a mis en oubli la purification de ses anciens péchés. C’est pourquoi, frères, appliquez-vous d’autant plus à affermir votre vocation et votre élection ; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. C’est ainsi, en effet, que l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ vous sera pleinement accordé ».
Notre seigneur ne laisse pas ses enfants vivre dans l’inconnu. Il y a des certitudes concernant la volonté de Dieu, car le Seigneur fait connaître ses désirs à ses enfants. Ainsi il nous appartient d’accomplir quotidiennement ses décisions plutôt que les nôtres. Voilà notre responsabilité personnelle. Par de bons choix, ce que nous accomplissons permet la réalisation des desseins du Seigneur à notre égard.
Armons-nous de cette pensée et tenons pour certaine que l’entrée dans « le
royaume éternel » est pour nous qui accomplissons le pèlerinage terrestre voulu
de Dieu.
CONCLUSION
Matthieu 5/14-16 : « Vous êtes la
lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée ; et on n’allume pas une
lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et
elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. Que
votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes
œuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux ».
Quand ces choses dites plus haut sont en nous et le sont en abondance, nous
pouvons accomplir d’une manière parfaite le rôle d’ambassadeur de Christ. Notre
foi ne laissera pas indifférent.
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