Le dernier jour de la fête
Jean 7.37
Jésus nous interpelle. Sa Parole nous invite à réfléchir, à regarder les choses en face.
Ici, l’écriture nous dit : « le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus s’écria : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive… ».
J’ai souvent pensé en lisant ces mots, qu’ils s’appliquaient à tous les hommes. Nos enfants, nos jeunes voudraient vivre leur vie comme une fête. Ils veulent être heureux, jouir à « cent à l’heure » chaque instant qui passe, et ils continuent jusqu’au…. dernier jour de la fête. Car, il y a toujours un dernier jour jusqu’à la désillusion, le rude contact avec la vie ! Et là, ils s’aperçoivent qu’ils ont encore soif, que les bonheurs de la « fête » sont des bonheurs en trompe-l’œil.
Ce qui est vrai pour les jeunes est vrai aussi pour tous les autres. Chaque départ, chaque remise à zéro veut être vécue comme une fête, mais à la fin …. ???
Dans nos vies, il y a de nombreuses fêtes : la fête du mariage, puis la fête où arrivent les enfants, puis les petits enfants, …etc. Et puis, c’est la vieillesse… et enfin la mort ? Le dernier jour de la fête, Jésus se tenant debout et s’écria : « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive ».
La vraie fête, celle qui n’a pas de « dernier jour », celle qui n’est pas une succession de fêtes d’intensité toujours moindre. Non ! C’est celle que nous offre Jésus lorsqu’il vient remplir un cœur de la plénitude de sa présence. C’est comme une source qui ne tarit jamais.
Priez donc le Seigneur et demandez-lui à boire, il vous fera du bien !
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