… jamais son amour ne s’endort, le vent se déchaîne, nos cœurs sont en peines, mais DIEU NOUS CONDUIT JUSQU’AU PORT. (Ainsi disait un vieux chant)
Psaume 29/10 « L’Eternel était sur son trône lors du déluge ; l’Eternel sur son trône règne éternellement. »
Au-dessus du déluge, L’Eternel siégeait sur son trône. Il siège en roi à tout jamais.
Dans ce psaume, David nous rappelle que, dans ce qui était la plus grande catastrophe de l’humanité à cette époque, l’Éternel n’était pas dépassé. Au contraire Il siégeait, il régnait, il contrôlait et maîtrisait toutes choses.
L’apôtre Jacques nous dit : « qu’il est le père des lumières chez qui il n’y ni changement ni ombre de variation. » (Jacques 1/17-18). Il siège aujourd’hui encore de la même manière.
Pour David, ce n’est pas juste une pensée philosophique mais une source de confiance, car la suite du psaume nous dit ceci au V11b : « le Seigneur bénira son peuple par la paix ». (DARBY)
Savoir que Dieu règne, procure la paix à son peuple. Un peu de la même façon que Paul au milieu de la tempête, durant son trajet en bateau pour Rome (Actes27).
Il était littéralement « dans le même bateau » que les autres. Ici, pas de différences de traitement entre croyants et incroyants.
Mais le psalmiste avait la paix grâce à ce qu’il avait reçu de Dieu.
Et même au-delà, sa paix irradiait de lui et a atteint les autres.
De la même façon, dans ces temps troublés, nous pouvons être un témoignage pour notre voisinage proche par la paix que nous pouvons trouver et recevoir du Père céleste. Paix qui n’est pas une audace téméraire face au danger mais la conviction que la situation n’est pas hors de contrôle dans les lieux célestes.
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